BIBLIOGRAPHIE
(Sélective)
Un été de cendres, récit (Michalon, 1995 et «Folio» n° 3362),
Prix Tropiques et prix Découverte Albert-Camus
Camus à Oran, récit (Michalon, 1995)
31, rue de l’Aigle, récit (Michalon, 1998 et«Folio» n° 3361)
Mémoires de nègre, roman (Michalon, 1999, et«Points» n° P20
Dites-leur de me laisser passer et autres nouvelles (Michalon, 2000)
Camping, roman (Seuil, 2002, et«Points» n°P1351), Prix Amerigo-Vespucci
Gare du Nord, roman (Seuil 2003, et «Points» n°P42
Le nez sur la vitre, roman (Seuil, 2004, et Points n°1420), Prix Stendhal des lycéens,
prix de la ville d’Ambronay et prix de l’Association des Écrivains de langue française
Pain, Adour et Fantaisie, chroniques (Le Castor astral, 2006)
La dernière nuit de l’émir, récit (Seuil, 2012)
Une ville en temps de guerre, récit (Seuil, 2013), Prix Amic de l’Académie française
Le Chat de madame Michel (Le Croît Vif, 2014)
Histoires de cochons, récit (Michalon, 2015)
«Un été de cendres cruellement tendre est peut-être un des meilleurs textes algériens à transmuer en littérature une histoire fraîche et sanglante.» Olivier Tood, Le Nouvel Observateur
«Une eau-forte aux contrastes corrosifs. Ce livre, Sable rouge, va peser lourd sur le destin du roman algérien.» Mohammed Dib, Le Nouvel Observateur
«Djemaï sait dire la fureur, la révolte, la colère sans la moindre véhémence, au plus juste des mots.» Paule Constant, Le Figaro Littéraire
«Dans ce récit dénudé jusqu’à l’os, tout est démontré, démonté. Un réquisitoire soutenu par une écriture tranchante.» André Rollin, Le Canard Enchaîné
«En phrases brèves, tendues, agressivement simples, Djemaï nous dit, entre les lignes que les mots, le rêve, l’imagination, la révolte demeurent les clefs de toute liberté.» Michèle Gazier, Télérama