Les écrivains de l'Atelier Imaginaire

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Qualité : Auteur fondateur en exercice
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Né à Rouen, en 1950. A travers la Bible illustrée par Gustave Doré et Michel Strogoff, se découvre très tôt une passion pour les aventures imaginaires. Commence par écrire pour le théâtre, et vient naturellement au roman à la fin des années soixante-dix. Passant avec gourmandise de l'époque du Christ en Palestine au monde d'aujourd'hui, poursuit le fil de nombreux récits, où, à la quête du rachat, l'homme est souvent confronté à ses propres culpabilités.

Passionné par l'Italie, réalise une trilogie romanesque sur Florence (avec Alessandro ou la guerre des chiens, dont le peinte Botticelli est le personnage central), Naples (avec Les Noces fatales) et Rome, et termine un roman sur l'histoire (vraie) de François d'Assise aux Croisades.

A publié une vingtaine d'ouvrages et a obtenu le prix Femina en 1987 pour L'Egal de Dieu (Editions Calmann-Lévy).

 

 

BIBLIOGRAPHIE

 

(sélective)

ROMANS

 

"L'Homme disparu " (Albin Michel, 1979)

"Vasile Evànescu, l'homme à tête d'oiseau" (Calmann-Lévy, 1983)

"Lazare ou le Grand Sommeil" (Calmann-Lévy, 1985 - Pocket)

"L'Egal de Dieu" (Calmann-Lévy, 1987 - Le Livre de poche)

"Baptiste ou la dernière saison" (Calmann-Lévy - 1987 - Le Livre de poche)

"Alessandro ou la guerre des chiens" (Flammarion, 1997)

"Les Noces fatales" (Flammarion, 1999)

 

 

NOUVELLES

 

"L'Eveil" (Le Castor Astral, 1985)

"Mémoires du bout du monde" (Presses de la Renaissance, 1988)

"Les Tyrans" (Presses de la Renaissance, 1990)

"Alejo Carpentier "(Julliard, 1995)

     

"Plus il avance dans son oeuvre, car c'est une oeuvre, avec ce que cela requiert de passion et de travail concerté, plus Alain Absire confirme son choix des thèmes graves. A l'heure des bilans, il sera juste de lui reconnaître une position d'exigence, un usage du roman que l'histoire spirituelle saura placer à son rang, parmi les témoins de l'inguérissable inquiétude." Lucien Guissard, La Croix


"Alain Absire illustre une littérature puissante à laquelle rien ne résiste. La fameuse épaisseur romanesque, la voilà ! Dans ce talent si rare - et si peu français au bout du compte - d'aller au bout de ses sujets, de ses personnages, de ses décors." Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur

 

"Ecrire, il faut que ce soit un bonheur. Il faut que, même s'il s'agit d'arracher de soi la plus douloureuse des épines, ce soit une joie stupéfiante.
Au gré des lignes, d'autres vies s'offrent à l'écrivain, il y plonge avec avidité et s'y démultiplie. Pas de doute ! La réussite, et la portée de l'histoire qu'il raconte au gré de quelques destinées sorties de son imaginaire, est à la mesure de sa propre jouissance. Ce qu'il dit peut être terrible... Pourvu qu'il y découvre matière à s'émerveiller, la rencontre tant souhaitée avec ceux auxquels il s'adresse aura lieu." Alain ABSIRE